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Elles lui ont tiré le portrait: avec mille vies, Barbara Lanthemann ne pouvait pas mener qu’un seul combat

Chaque mois, Stéphanie Germanier et Sabine Papilloud tirent, en mots et en photos, le portrait d’une gueule valaisanne. En avril, c’est la présidente du PS Valais romand, qui vient d’emmener Mathias Reynard au gouvernement, qui se découvre un peu plus que d’un fil.

Barbara Lanthemann, une présidente qui n'a jamais aimé le pouvoir mais termine sur un succès.

Casser du caillou, elle connaît. Elle sait même en faire des murs. Tout beaux, tout réguliers. Devant sa maison, elle fignole les détails d’une rénovation. C’est presque terminé. Comme sa présidence du PS valaisan. Barbara Lanthemann remettra son mandat le 17 avril. Elle quitte. Pour autre chose. Une autre tranche de vie. D’autres combats puisqu’elle vient d’en remporter un en hissant Mathias Reynard au Conseil d’Etat, après presque cinq ans de présidence. Une victoire qui est un peu la sienne aussi, parce que quand on est cheffe on assume autant les défaites que les succès. «J’ai adoré cette fonction. J’ai adoré mobiliser. Adoré les gens qui font ce parti. Adoré le PS.»

Barbara Lanthemann, c’est une entreprise générale à elle seule. Elle sait tout faire. Au début parce qu’il fallait bien se débrouiller. Aujourd’hui, parce qu’elle aime construire et admirer la concrétisation d’une idée. «Je viens de terminer un mur...

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