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Choix professionnel: le plaisir avant tout

A l’heure de s’orienter vers un métier, quels sont les critères décisifs pour les jeunes Valaisannes et Valaisans? «Le Nouvelliste» est allé à leur rencontre entre les stands du Salon des métiers.

16 févr. 2020, 11:44
Pierrick (12 ans) veut découvrir tous les métiers de la construction, lui qui rêve de devenir architecte.

Chanson, archéologie, voyage dans l’espace, il y a bien des rêves caressés, mais il faut insister longtemps pour que les jeunes osent les verbaliser. Dans les allées du salon Your Challenge, l’heure est au pragmatisme. Le rêve, oui, mais la réalité d’abord. Pourtant, le plaisir n’est pas éludé, loin de là. Il est d’ailleurs cité à l’unisson comme le premier critère de choix d’un métier.

Tester, changer

«Avoir de la motivation à se rendre au travail», «assouvir sa passion», si pour les jeunes le critère «plaisir» est le fondement de l’épanouissement, il est pour les parents l’assurance de la persévérance et de l’achèvement de la formation entreprise. Et pour être sûr de ne pas se tromper, mieux vaut tester avant de signer. Encouragés par les parents, les stages ont la cote pour se faire une idée de la réalité du métier.

Que pensent ces adolescents de devoir décider si tôt...

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