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Cellules Poétiques: boire, ensemble, la poésie limpide de Corinna Bille

La deuxième édition du festival Cellules poétiques se centre sur l’écrivaine valaisanne. Rencontre avec trois artistes proches d’elle.

03 avr. 2019, 11:00
Stéphanie Lathion, Renée Chappaz Peiry et Cécile Giovannini, trois regards aspirés vers le haut, vers la clarté poétique de Corinna Bille.

L’exposition, qui se déploie dans l’espace intime de la Grange à Emile à Martigny-Bourg, s’intitule «Printemps, je te bois». Et elle dit bien l’éclosion. Le festival Cellules poétiques a choisi cette année Corinna Bille comme figure centrale. Certes, 2019 marque les 40 ans de la disparition de l’écrivaine valaisanne, mais, comme ce fut le cas pour Frida Kahlo lors du festival Lettres de soie à Mase, c’est autre chose, une autre sève, qui irrigue le programme de cette deuxième édition.

A la croisée des hasards

Ce mercredi, le festival s’ouvre donc sur le vernissage de «Printemps, je te bois», exposition réunissant trois femmes, trois artistes, toutes liées à Corinna Bille à leur façon. La photographe Renée Chappaz Peiry, belle-sœur de l’écrivaine, l’illustratrice et peintre Cécile Giovannini, petite-nièce, et la plasticienne et scénographe Stéphanie Lathion, qui a plutôt rencontré Corinna Bille par l’entremise de ses consœurs.

Trois sensibilités

Accrochées en hauteur,...

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