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Un Romand chef espion?

Le Conseil fédéral va bientôt nommer le nouveau chef du Service de renseignement.

31 mars 2018, 00:01
ARCHIV - ZUM WECHSEL VON NDB-CHEF MARKUS SEILER INS DEPARTEMENT VON AUSSENMINISTER IGNAZIO CASSIS ALS NEUER GENERALSEKRETAER, AM MITTWOCH, 08. NOVEMBER 2017, ERHALTEN SIE FOLGENDE ARCHIVBILDER ----- Portrait of Markus Seiler, Director of the Swiss Federal Intelligence Service, FIS, taken at the FIS headquarters in Bern, Switzerland on April 7, 2017. (KEYSTONE/Alessandro della Valle) 

Markus Seiler, Direktor des Nachrichtendienstes des Bundes, NDB, portraitiert am 7. April 2017 am Sitz des NDB in Bern. (KEYSTONE/Alessandro della Valle) SCHWEIZ NACHRICHTENDIENST MARKUS SEILER

Le Service de renseignement de la Confédération (SRC) va bientôt refaire parler de lui. Pas à cause de l’ex-espion suisse Daniel M., dont la mission secrète en Allemagne vient d’être crucifiée par la Délégation des commissions de gestion, l’organe de haute surveillance parlementaire. Mais parce que le Conseil fédéral doit prochainement nommer le successeur du Bernois Markus Seiler à la direction.

Ministre de tutelle, le Vaudois Guy Parmelin (UDC) est en train de mûrir son choix. Trois Romands semblent tenir la corde pour reprendre les destinées du contre-espionnage à croix blanche. Il devrait s’agir, selon nos recherches, du Neuchâtelois Pascal Lüthi, du Vaudois Jean-Philippe Gaudin et du Valaisan Jacques Pitteloud. En soi, ce trio ne constitue pas une surprise. Il fait partie, depuis le début, de la demi-douzaine de favoris.

Au total, Guy Parmelin a reçu une cinquantaine de postulations. Selon nos informations, sa commission de désignation a bouclé...

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