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L'entraîneur du FC Sion relève les deux visages présentés par son équipe face à Zurich au stade de Tourbillon (1-1)

Gabri apprécie la réaction de ses joueurs après une première période très compliquée.

05 nov. 2017, 09:32
Pajtim Kasami, auteur du but égalisateur pour le FC Sion, tente d'échapper à Umaru Bangoura.

Pajtim Kasami : «Nous perdons deux points et nous en gagnons un simultanément. Nous n’avons pas le droit de prendre un tel but, ce n’est pas possible. Mais nous avons su réagir. Le manque de confiance est encore important. Il faut être plus fort mentalement, avoir plus de détermination, notamment devant le but adverse pour vouloir marquer. Mon but me permet d’évacuer beaucoup de frustration, il manquait toujours un petit quelque chose pour que j’y parvienne dans les matchs précédents. J’ai fait le geste du silence ensuite parce que nous avons besoin de soutien, surtout à la maison, et pas de critiques. Il ne faut pas siffler tout de suite. Nous commettons des erreurs, nous sommes des hommes et non pas des robots. Le groupe a les qualités pour ne pas se retrouver au fond du classement comme aujourd’hui.» 

Gabri : «Nous avons vu deux mi-temps différentes, la première pour Zurich qui était catastrophique pour nous, la deuxième en notre faveur. C’est un petit pas par rapport au changement de mentalité et de fonctionnement que je désire apporter, mais je le prends volontiers. Je ne connais pas le jeu qui était pratiqué avant mon arrivée, mais cinq mois vécus avec une certaine approche ne s’effacent pas en quelques semaines. Je le dis sans porter de jugement qui affirmerait qu’un football est meilleur que l’autre. Mes joueurs ne sont pas encore totalement convaincus de mes idées, c’est normal. La peur de mal faire et le manque de confiance se ressentent encore dans notre jeu. »
 

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