Il n’a qu’un regret: que sa grand-mère, décédée trois semaines avant le concours, n’ait pu être là pour assister à son sacre européen. «Elle comptait parmi mes plus fervents supporters…» souligne Bruno Pravato. Au même titre, d’ailleurs, que ses parents, ses cinq frères et sœurs et la vingtaine de fans qui l’ont accompagné, début décembre en Suède, aux EuroSkills – ou championnats d’Europe des métiers. De Göteborg, il est rentré avec le titre chez les maçons.
Une première suisse. Et une consécration qui en a amené une autre: celle de ValaiStar de décembre.
Bruno Pravato, vous avez eu la reconnaissance de vos pairs avec ce titre européen. Aujourd’hui, être ValaiStar, c’est une sorte de reconnaissance populaire?
Oui, et cela fait extrêmement plaisir. En plus, je dois être un des derniers à ne pas avoir de profil Facebook, ce sont mes frères et sœurs qui ont fait de la pub pour...