En l’espace de quelques heures, mercredi, la salle Carioca 1 du parc olympique de Rio a vécu les départs à la retraite de deux légendes: Tony Parker et Manu Ginobili. Sèchement battus, par l’Espagne pour le premier (92-67), par les Etats-Unis pour le second (105-78), les deux coéquipiers des San Antonio Spurs auraient assurément rêvé d’une autre sortie.
Figures de proue de sélections en bout de cycle, «Tipi» et Manu n’ont pas pu inverser la tendance. Leurs coéquipiers non plus. «C’est dur de sortir comme ça. Nous aurions tellement voulu offrir une belle sortie à Tony», a regretté le meneur français Antoine Diot.
Pas d’amertume
Déjà battue par l’Espagne en septembre dernier lors de «son» Euro, la France finit encore une fois sur une déception. Tony Parker quitte donc la scène internationale sans médaille olympique. Mais sans la moindre amertume non plus. «J’aurais bien voulu faire mieux, mais c’est le...