Philippe Varone, jusqu’à mercredi dernier on ne vous avait presque pas entendu sur ce dossier. Qu’est-ce qui justifie cette prudence alors que Sion est la ville hôte?
Je ne sais pas si on peut parler de prudence. Nous attendions d’avoir tous les éléments en mains pour communiquer et il était important notamment de connaître le soutien de Berne. Nous voulions être certains que nos exigences, fixées depuis 2016, seraient respectées.
Quelles exigences?
La plupart portaient sur l’aspect financier et en particulier sur la nécessité de n’être pas seuls à porter ce projet.
Jusqu’à aujourd’hui, on a surtout entendu vos collègues du Conseil communal Christophe Clivaz et Cyrille Fauchère se prononcer contre ce projet. Quelle est vraiment la position de la ville?
Bien sûr que j’y crois. Nous avons participé depuis à toutes les séances...