Des cannettes de bière qui jonchent l’herbe des parcs de la ville, des mégots de cigarettes écrasés sur les trottoirs, des emballages en plastique emportés par le vent. Voilà ce qui se cache derrière le mot littering. De mauvaises habitudes des citoyens que la ville de Sion a décidé de combattre activement à coups de sensibilisation, d’éducation et de répression.
Des actions concrètes qui lui ont valu le label No-Littering décerné par la Communauté d’intérêts pour un monde propre (IGSU). «Sion est ainsi la deuxième commune en Valais à obtenir ce label après Loèche», informe Lorène Dubuis de la IGSU. Entre le premier semestre de 2016 et 2017, la quantité de déchets laissés à l’abandon a diminué de 20% pour passer de 38,5 à 31,2 tonnes.
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Le littering coûte 1 million de francs par année
Ce label n’est pas une finalité en...