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Les Félibres dévoilent samedi soir à Arbaz leur imaginaire en patois évolénard

Le trio Félibres propose une création musicale et visuelle de chants polyphoniques en patois d'Evolène.

11 févr. 2016, 14:46
/ Màj. le 11 févr. 2016 à 17:17
Les trois soeurs Magdeleine Rossier, Françoise Gaspoz Rossier et Elisabeth Gaspoz des Félibres célèbrent leur complicité en patois.

Trois femmes, trois sœurs, trois voix. Magdeleine Rossier, Françoise Gaspoz Rossier et Elisabeth Gaspoz ont bouclé leur première création musicale «Ora» (traduction: Maintenant), en patois évolénard. Des mélopées inspirées par la nature, les saisons et les fées de la montagne.

Légendes revisitées

Si ces trois fées baignent depuis leur plus tendre enfance dans les récits de processions des morts et de revenants contés par leur grand-mère, elles se défendent toutefois de se laisser enfermer dans les traditions. Leurs chants évoquent l’histoire humaine au fil des saisons et des événements marquants que sont le carnaval ou la fête de la Saint-Jean. Ils sont teintés d’imaginaire, bercés de légendes mais bien ancrés dans la réalité.

Une prestation impromptue dans la neige...

Univers visuel fort

Sur scène, leurs voix de soprano, alto et mezzo bien travaillées s’entremêlent dans un contexte musical de claviers et de percussions, étoffé par l’accordéon d’Aline Roy. La projection d’une série de clichés des Félibres dans la forêt, habillées et parées en fées avec leurs longs cheveux flottant au vent, invite les spectateurs à s’immerger dans leur univers onirique.

Retrouvez l'intégralité de cet article dans nos éditions papier et numériques du vendredi 12 février 2015.

 

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