En principe, lorsque l’on découvre un gisement de pétrole dans son sous-sol, c’est plutôt une bonne nouvelle. Sauf quand c’est en fait une nappe de pollution et qu’un projet d’envergure est prévu au-dessus. Cette mauvaise surprise est arrivée à la Ville de Sion. En effectuant des tests préventifs dans les entrailles du futur chantier du campus Energypolis à la rue de l'Industrie à Sion, le service de l’assainissement est tombé sur des concentrations d’hydrocarbures supérieures à la moyenne. «Nous avions décidé de prendre les devants et de sonder le sol avant les travaux de fouilles. Ces investigations ont permis de découvrir un panache d’hydrocarbures sur l’une de nos parcelles», détaille Raphaël Berthod, responsable de l’assainissement de la Ville de Sion. La pollution touche également une parcelle du canton et une des CFF.
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