Moi, quand on m’a dit que j’allais passer la nuit de la Saint-Valentin au château Mercier, j’ai immédiatement revisionné l’intégrale de «Kaamelott», tenté de dégoter une épée et demandé à ma femme de m’appeler Jon Snow toute la semaine qui a précédé. J’étais même prêt à dénicher un canasson pour faire plus vrai. Sauf que je me suis un poil emballé apparemment. S’il y avait bien une magnifique et chaleureuse cheminée pour nous accueillir, pas de trace de sanglier en train d’y rôtir. A la place, des pétales de roses rouges disséminés sur le lit.
Du coup, au lieu de l’épique combat d’épées, j’allais avoir droit à une Saint-Valentin dans les règles de l’art avec chandelles et menu à quatre plats (heureusement le type au violon devait être grippé). J’ai bien tenté de dire que je prenais le premier quart de garde sur le mâchicoulis. Sans succès. A table! Et...