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Vice-président de l’Association suisse des taxis, le Martignerain Michel Piller milite contre Uber

Le Martignerain Michel Piller est l’un des fondateurs de la toute nouvelle Association suisse des taxis, dont il est vice-président. Son credo? Utiliser les avancées technologiques pour promouvoir la profession, à condition de pouvoir travailler à armes égales avec les nouveaux prestataires de services made in USA, comme Uber.

09 févr. 2017, 09:45
/ Màj. le 10 févr. 2017 à 06:30
Michel Piller a créé une plateforme de réservation (taxi-opportunity.ch) au niveau Suisse. Elle est actuellement en phase de test.

Créée le 25 janvier dernier à Morat, l’Association suisse des taxis a pour objectif principal, pour reprendre les termes de son vice-président Michel Piller, "de limiter la paupérisation des taxis due à la concurrence déloyale exercée par Uber".

Michel Piller, 64 ans, entrepreneur à la tête d’une société de taxis basée à Martigny, déploie une intense activité tant au niveau local que sur la scène nationale. Il a créé le groupement des taxis de Martigny en 2005. De 2006 à 2016, il a été membre du comité de Taxisuisse, le groupe  taxis de l’Association suisse des transports routiers (ASTAG), qu’il a quitté pour constituer, aux côtés du Neuchâtelois Patrick Favre, l’Association suisse des taxis dont il est vice-président.

S'il considère "au bout du compte que le système Uber est une excellente idée", Michel Piller estime que "la façon dont les choses sont conduites ne joue pas. Uber casse les prix, ne paie aucune charge sociale, rend les heures de travail incontrôlables et sous-paie les chauffeurs."

Interview complète à découvrir dans nos éditions papier et numériques de ce vendredi 10 février.

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