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Martigny: l'avenir du refuge "la bouche qui rit" menacé!

En proie à des soucis financiers, le refuge pour animaux voués à la boucherie ou maltraités pourrait devoir fermer ses portes dans les prochains mois. La faute à un manque de soutien financier.

20 nov. 2015, 10:20
/ Màj. le 21 nov. 2015 à 06:31
Wendy Privet, Nicolas Flamarion et Sandra Flamarion craignent pour l'avenir du refuge "La bouche qui rit" et ses protégés.

Le refuge « La bouche qui rit » à Martigny craint pour sa survie. «Les caisses sont vides et les factures commencent à s’entasser», reconnaît Nicolas Flamarion. Cet amoureux de la nature et des bêtes a créé avec sa famille «cet espace de vie» pour pouvoir sauver toutes sortes d’animaux maltraités ou  destinés à la boucherie.

Depuis la mi-août, les bénévoles de la « bouche qui rit » ont donc pris leurs quartiers sur un terrain loué par un pépiniériste, à la sortie de Martigny côté Fully, le long de l’autoroute. Trois bâtiments et deux terrains de 7000 mètres carrés font le bonheur de Nicolas, son épouse et sa sœur. La famille a ainsi déjà pu sauver sept chevaux voués à la boucherie pour certains ou souffrant de maltraitance pour d’autres, mais se retrouve aujourd’hui confrontée à des problèmes d’intendance et aux limites du bénévolat. «La bouche qui rit a besoin de 3'500 francs par mois pour fonctionner et remplir sa mission en respectant les normes légales en vigueur », tel est le cri du cœur lancé par ces trois passionnés.

Vous pouvez retrouver l’intégralité du reportage consacré à la lutte pour sa survie engagée par le refuge martignerain dans l’édition papier de ce samedi.

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