Les 400 employés de la compagnie industrielle de Monthey (CIMO) devront à l’avenir décompter les pauses cigarette de leur temps de travail. La nouvelle règle n’a pas encore été formellement adoptée, mais devrait l’être d’ici la fin de l’année. Le temps pour la direction de traiter de la question avec les représentants du personnel. Lors de notre appel, la commission des travailleurs n’avait pas encore été informée du projet du patronat.
"Certains fumeurs sont eux-mêmes favorables à un timbrage des pauses cigarette, car cela empêcherait les non-fumeurs d’insinuer qu’ils travaillent davantage que leurs collègues dépendants à la nicotine, estime le directeur de la firme bas-valaisanne, Mauricio Ranzi. Plus que la constatation concrète d’abus, le soucis d’égalité de traitement motive notre éventuelle nouvelle règlementation."
Comment les autres sociétés du canton, qui pratiquent déjà le timbrage des horaires de travail, gèrent-elles la problématique des pauses cigarette...la réponse dans nos éditions papier et numériques de vendredi.