Louis-François Zingg est arrivé «un peu par hasard dans le monde politique» comme il aime à le dire. C’est neuf mois après avoir pris sa retraite qu’il «a été parachuté» sur le devant de la scène. D’abord comme conseiller communal, suite à la démission surprise de l’ensemble de l’exécutif ainsi que la secrétaire communale.
Votre début de mandat fut pour le moins atypique?
En fait, j’ai été nommé au départ contre mon gré. Puis, j’y ai pris goût ce qui m’a permis de vivre huit années fort enrichissantes.
Mais vous n’aurez occupé qu’une seule période le siège présidentiel?
Il est vrai que mon parcours à la présidence a été bref, puisqu’il aura duré quatre ans. Mais cela était prévu ainsi. Mon objectif était d’assurer la transition et de préparer la suite.
Et que retenez-vous de cette dernière législature?
Au niveau des expériences, j’ai beaucoup apprécié le fait de pouvoir travailler...