Votre publicité ici avec IMPACT_medias

Brexit: Verbier préfère attendre avant de s'alarmer

Vendredi, le monde prenait connaissance de la volonté des Britanniques de quitter l'Union européenne. Un brexit qui a provoqué un séisme dans les milieux politiques et économiques. La station de Verbier refuse, par contre, de céder à l'alarmisme.

25 juin 2016, 20:37
/ Màj. le 27 juin 2016 à 06:30
La grande majorité des commerçants sondés refuse de s'alarmer.

Le ciel bleu de vendredi n’est pas tombé sur la tête de Verbier, même si l’on apprenait, dès potron-minet, que les Britanniques faisaient le choix de se retirer de l’Union européenne. Dans la minorité de restaurants, hôtels et magasins non affublés d'une pancarte de fermeture annuelle, les tenanciers se donnent du temps pour juger des effets du Brexit. Pourtant en 2015, les touristes en provenance du Royaume-ni ont généré 28% des nuitées de la station bagnarde, un record en Valais.

Or qui dit Brexit, dit affaiblissement de la livre sterling et renchérissement d’un franc déjà fort. Une situation néfaste pour le tourisme puisque le pouvoir d’achat des Anglais sera vraisemblablement revu à la baisse.

Découvrez pourquoi les acteurs économiques de Verbier sont pourtant optimistes, ainsi que l'avis d'Anglais de passage en Valais dans nos éditions papier et numériques de lundi. 

Votre publicité ici avec IMPACT_medias