Yannick Noah, Bénabar, Cali ou encore Axel Bauer. Certains sont fidèles au poste alors que d’autres découvriront ce week-end le festival de Terre des hommes. Une cause humanitaire les rallie et les amène dans le Chablais où ils sont accueillis avec respect et authenticité.
Tout commence à l’aéroport ou à la gare où un comité les attend. «Hors de question qu’ils se retrouvent seuls à leur arrivée, explique Philippe Gex, directeur de Terre des hommes. Dès qu’ils entrent dans le Chablais, ils sont scotchés la tête à la fenêtre.»
L’émerveillement continue à la Maison de Massongex, où ils ont pour habitude de photographier la Cime de l’Est et les Dents de Morcles. «On a presque envie de les amener plus loin mais on manque de temps. Ils viennent à la dernière minute et repartent à la première», confie Grégory Rausis, responsable de la recherche de fonds et de la...