Une enseigne sur le toit. Une bâtisse vigneronne aux couleurs vives perchée à 8 mètres du sol. Des murs de pierre en escaliers. Le décor de la pièce «Plus belle la vigne», que le Croûtion présente dès mi-juillet au Bouveret, est planté. Depuis début mai, pas moins de cinq personnes se mobilisent à plein temps pour sa réalisation. L’ambiance de cette édition sera très… nature. «Elle est une thématique centrale. Le rythme est donné par le passage des saisons», explique Olivier Duperrex, metteur en scène. La particularité du cru 2016? Une vigne mobile qui grandira au fil de la représentation.
De l’imagination
«Il y a toujours quelque chose qui bouge, chez nous. Cette année, c’est cela», dévoile le producteur. Sous la scène, des interstices permettront à un important dispositif de poulies et de câbles d’acheminer les différentes couches de branches. L’idée de ce système dit de la «corde...