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Un retard qui n’aura que peu d’incidences

En raison de pièces défectueuses, la mise en service de la centrale, prévue en 2018, sera retardée de six à douze mois.

30 sept. 2016, 23:55
/ Màj. le 01 oct. 2016 à 00:01
Visite du chantier du Nant de Drance, accompagné de Gérard Seingre, responsable du projet.



Louis Dasselborne/Le Nouvelliste

Entre six et douze mois. C’est le retard que prendra le processus de mise en service de la centrale de pompage-turbinage de Nant de Drance, à Emosson, prévue initialement dès 2018. En cause: des problèmes de qualité sur des pièces en acier servant à répartir l’eau autour des turbines («Le Nouvelliste» de vendredi). Les pièces défectueuses, fabriquées par l’entreprise américaine General Electrics, doivent être refabriquées, retardant d’autant le montage des turbines de pompage et du générateur.

Le contretemps n’aura que peu d’implication sur la marche des travaux, assure Eric Wuilloud, chef du projet Nant de Drance. «L’endroit où cela nous bloque, c’est la caverne des machines. C’est là qu’on prend du retard. Mais le reste des activités n’est pas impacté, on poursuit le programme tel que défini. Et General Electrics met tout en œuvre pour rattraper ce retard.» Certains travaux seront «décalés dans le temps», précise encore Eric Wuilloud, qui...

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