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Sur les traces de l'ADN Si vous avez raté le début...

Le 13 septembre dernier, une alerte à la bombe anonyme bloquait la production de Novelis et d'Alcan. Des traces d'ADN relevées dans une cabine téléphonique semblent être les seuls indices.

27 nov. 2010, 05:03

Cent jours après l'alerte à la bombe qui a fait paniquer Sierre, où en est l'enquête? Rinaldo Arnold, le juge chargé de la procédure pénale, n'est guère loquace. «Je n'ai rien à vous dire, si ce n'est que la procédure suit son cours.» L'appel téléphonique, qui avait été localisé le jour même, provenait d'une cabine téléphonique de Viège. La police aurait procédé à des prélèvements d'ADN sur l'appareil, sans apparemment avoir réussi, jusqu'à aujourd'hui, à mettre la main sur le coupable.

Plusieurs hypothèses

Du comptoir de bistrot aux bureaux des policiers, diverses thèses ont été imaginées. Celle de syndicalistes revendicateurs n'est guère crédible, car aucune requête n'est arrivée jusqu'aux directions des deux usines. S'agirait-il d'un geste rageur d'un employé déçu? La police y a songé et a prié les directions d'Alcan Valais et de Novelis de leur fournir la liste des travailleurs licenciés durant les deux dernières années. Cette piste...

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