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Sa «libération» fait jaser

Jean-Marie Bornet n’a pas pu réintégrer sa place de travail à la police cantonale lundi. Si le PDC et l’UDC ne commentent pas, le PLR et le PS émettent des critiques sur le mutisme et la méthode du Conseil d’Etat.

22 mars 2017, 05:33
Sion - 5 mars 2017

Elections du Conseil d'Etat 2017.
Ici, Jean-Marie Bornet, candidat RCV.

Héloïse Maret/Le Nouvelliste

Le Rassemblement citoyen Valais est en colère. Dans une communication faite hier après-midi, le parti coprésidé par Jean-Marie Bornet et crédité de 17 389 voix au premier tour des élections au Conseil d’Etat, estime que la non-réintégration du chef de la communication et de la prévention de la police cantonale viole la liberté d’expression et les droits politiques du citoyen. Patrice Bigler, coprésident du RCV relève, par ailleurs, la différence de traitement entre Jean-Marie Bornet et un autre employé d’Etat candidat, Claude Pottier, chef du Service de la formation professionnelle, qui a pu, lui, reprendre le travail, en début de semaine. Et de rappeler que, il y a quatre ans et après avoir croisé le fer contre Oskar Freysinger, Christian Varone, chef de la police avait pu, sans problème, réintégrer ses fonctions.

Critique à l’encontre de la justice et de Via Sicura

Pour rappel, Jean-Marie Bornet s’est vu signifier, lundi...

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