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Quand les prédateurs jouent les top models

L'Université de Berne a placé des appareils photo en Valais pour suivre les mouvements du loup et du lynx. Elle cartographie également les traces d'animaux le long de plus de 300 tronçons. L'Etat sceptique.

05 déc. 2012, 00:01
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Un nouveau programme de recherche a été lancé en Valais par une équipe de l'Université de Berne. Emmenée par le Valaisan Raphaël Arlettaz, responsable du Département de biologie de la conservation, cette équipe veut comptabiliser et suivre les grands mammifères sauvages, notamment le loup et le lynx. Les chercheurs utilisent deux méthodes principales. Primo, la pose de pièges photographiques à infrarouge à des emplacements clés. Autre moyen choisi: cartographier les traces d'animaux dans la neige le long de plus de 300 tronçons répartis à travers tout le canton.

Une première phase de test sur le terrain a eu lieu l'hiver dernier en Valais. Dès cet hiver-ci, le programme va entrer dans sa phase intensive. "L'objectif ultime est de procurer aux gestionnaires de la faune sauvage des outils modernes pour le suivi, le traitement statistique des données et la gestion des espèces, notamment des grands carnivores tels le lynx et le...

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