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Quand les élèves vont en boîte

Les écoles «cubiques» ont semblé fleurir ces derniers mois. Mais la tendance ne date pas d’hier. Et elle a ses raisons.

19 oct. 2016, 23:32
/ Màj. le 20 oct. 2016 à 00:01
Aproz, le 21 avril 2016



Inauguration du nouveau centre scolaire d'Aproz.



Sacha Bittel/Le NouvellisteAproz - centre scolaire

L’image d’Epinal de la bucolique petite école de village avec son toit à deux pans et son clocheton pour sonner l’heure de la récréation a fait son temps. Ces derniers mois, plusieurs établissements scolaires ou parascolaires «cubiques» ont vu le jour, du cycle d’orientation d’Octodure au CO de Fully-Saxon en passant par l’école-UAPE de Conthey ou le centre scolaire d’Aproz. Si l’on retrouve de telles constructions un peu partout en Europe, ce serait pourtant «très suisse de faire des cubes». C’est du moins l’avis de Renaud Rudaz, du bureau R2A à Sion, à qui l’on doit l’école primaire de Riddes. Cette tendance aurait même un nom: «Swiss Box». «Les bureaux d’architecture étrangers sont d’ailleurs souvent mal notés lorsqu’ils participent à des concours ici», relève le Sédunois.

Pour Léonard Bender, président de l’antenne valaisanne de la Société des ingénieurs et architectes (SIA), on réalise certes davantage de nouvelles écoles, «parce que...

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