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Plus de 2800 Valaisans pistent les radars de la police sur la messagerie Telegram

Fermés par crainte de dénonciation pénale, les groupes antiradars de la messagerie WhatsApp ont rebondi en Valais sur une messagerie chiffrée.

12 oct. 2017, 14:00 / Màj. le 17 oct. 2017 à 06:40
A ce jour, aucune dénonciation n'a encore été prononcée, ni aucune amende contre les diffuseurs de ces alertes anti-radars en Valais.

Fermés au début de l’automne par crainte de la justice, la dizaine de groupes illégaux de messageries WhatsApp qui annonçaient les contrôles radars routiers en Valais renaissent tel un phénix. En effet, grâce à Telegram, une messagerie codée, un nouveau groupe vient de faire son apparition.

Son cryptage et la non-publication des numéros de téléphone rendent difficile, voire impossible, l’identification de ses membres. Cette nouvelle communauté, elle aussi illégale, atteint déjà 2800 membres dans le canton et ne cesse de grandir.

Ce collectif très prudent utilise en prime un «robot» pour encore améliorer l’anonymisation des membres. Que peut faire la police cantonale contre eux? Son commandant se dit confiant. «Nous nous adaptons à toute problématique, nous avons l’habitude de ce genre de situation. Tôt ou tard nous trouvons la parade.»

Et Christian Varone de relativiser le problème: «Vous savez, ce ne sont pas les groupes antiradars qui nous préoccupent le...

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