Il y a une vie derrière les parois d’Energypolis, l’antenne valaisanne de l’EPFL à Sion. Près de cent cinquante personnes y travaillent chaque jour, dont des chercheurs, des professeurs et des doctorants. Huit laboratoires sont installés aujourd’hui; un neuvième sera inauguré en juin prochain. «Ce sera le dernier. Ensuite, nous serons complets», explique Marc-André Berclaz, le directeur opérationnel de l’EPFL Valais.
Dans l’immeuble de quatre étages, les corridors laissent apparaître par-ci par-là des employés, mais le fourmillement se trouve dans les bureaux et les laboratoires du bâtiment. Chaque laboratoire dispose de son propre service administratif. «C’est comme la gestion d’une petite entreprise sous la direction de l’EPFL de Lausanne», raconte Annick Evéquoz, assistante administrative.
"Un doctorant japonais m'a demandé où était le métro"
C’est dans ses mains par exemple que se gère le budget du laboratoire, que se font les premières démarches des engagements de personnel, la gestion des factures du laboratoire, l’organisation des voyages des chercheurs, la recherche d’appartements pour les nouveaux arrivants. Entre autres. «Je donne aussi toutes les informations utiles. Par exemple, un doctorant japonais m’a demandé l’autre jour où était la station de métro à Sion», raconte Annick Evéquoz.
Découvrez notre reportage avec plusieurs chercheurs de l'EPFL de Sion dans nos éditions papier et numériques de mercredi,