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Les acteurs de la filière vitivinicole valaisanne ne sont pas d'accord avec les modalités de constitution d'une interprofession nationale. Président de l'IVV, Eric Germanier argumente.

22 déc. 2009, 05:01

Les démarches menées en vue du redémarrage des activités d'un lobby suisse du vin ont fait souffler un vent de fronde en provenance du Valais, canton représentant près de 35% de la production vinicole nationale. Les conflits d'intérêts susceptibles de surgir pour les futurs délégués valaisans et le mécanisme de financement proposé sont à l'origine du mécontentement qui s'est fait jour dans la vallée du Rhône. Président de l'Interprofession de la vigne et du vin du Valais (IVV), Eric Germanier démêle l'écheveau.

A ses yeux, trop de zones d'ombre subsistent, de nombreux points doivent encore être éclaircis. Conséquence du coup de force valaisan, la création de la nouvelle Interprofession de la vigne et du vin suisse (IVVS) prévue en date du 14 décembre dans un premier temps a été repoussée à la fin avril, le temps de permettre à un groupe de travail composé de représentants des interprofessions régionales et...

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