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Miser sur la diversité ou la typicité?

Une communication axée sur la mosaïque. Deuxième volet d'une série traitant du projet de la stratégie vitivinicole valaisanne à l'horizon 2020.

09 mars 2015, 00:01
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Depuis Viti 2015, petite arvine et cornalin ont joué les étendards des vins valaisans. Ces cépages anciens et autochtones séduisent les amateurs tant par leurs qualités organoleptiques que par leur rareté. Originaux, expressifs et liés au terroir valaisan, heida (païen), amigne, humagne rouge ou blanche, lafnetscha ou autre himbertscha, le sont aussi. Alors, faut-il se limiter à promouvoir la typicité ou orienter son message sur la diversité d'une région pouvant se targuer de produire une cinquantaine de cépages?

"On croit, à tort, que le Valais est une des régions du monde avec la plus grande diversité de cépages. Ce n'est pas vrai. En Suisse par exemple, on trouve 97 cépages en AOC à Zurich. Le canton de Vaud a 66 cépages en AOC... Le Valais arrive donc en troisième position avec 50 cépages en AOC" , explique l'ampélographe et généticien José Vouillamoz. Et malgré son attachement aux cépages rares et...

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