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«Ma décision de quitter Berne pour le Valais est un atout pour le canton»

Roberto Schmidt vit sa troisième campagne politique en quatre ans. Accusé de vouloir tout «bouffer», il jure que sa candidature est un avantage pour les Valaisans et revient sur ce qui l’a poussé à briguer le gouvernement.

23 févr. 2017, 23:57 / Màj. le 24 févr. 2017 à 00:01
Sion - 16 février 2017

Portrait avec cadre de Roberto Schmidt, conseiller national et président de Loèche-Ville.

Héloïse Maret/Le Nouvelliste

Peter Bodenmann disait il y a quelques jours dans les médias que vous êtes un bon type, mais que vous êtes complètement dénué de sens politique. C’est vrai?

Je ne lis pas toujours Peter Bodenmann, car je trouve que ses analyses ne sont plus vraiment à jour. Lorsqu’il dit qu’il peut y avoir deux socialistes élus le 5 mars, je me demande qui a le moins de sens politique de lui ou de moi. Plus sérieusement, je ne crois pas que c’est être dénué de sens politique de préférer le pragmatisme et l’écoute des gens aux idéologies et aux stratégies.

Vous avez quand même la réputation d’être un gentil qui arrange tout le monde. Savez-vous parfois déplaire?

Je n’aime pas la polémique, mais je n’ai pas peur de la confrontation. De manière générale, je trouve que la politique manque de respect.

La dernière fois que vous avez pris une position...

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