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Lex Weber: le violent retour de manivelle

Abus ou nécessité, la chasse aux "fausses" résidences principales tombées sous le coup de la lex Weber crispe les vallées valaisannes. Et si tout cela n'était que la conséquence d'une loi bien trop mal construite? Notre analyse.

08 août 2017, 17:37 / Màj. le 08 août 2017 à 18:00
Julien Wicky, journaliste au Nouvelliste.

On devrait pouvoir construire en montagne pour y habiter. Mais force est de constater que le chemin est semé d’embûches. Depuis une année, les instances judiciaires ont sévèrement durci l’application de la Lex Weber, qui limite à 20% la part de résidences secondaires par commune. Ce sont ainsi des quantités d’annulations de permis de résidences… principales qui sont formulées par les juges, fondées sur des soupçons d’abus de droit que nous vous révélions ce mardi.

>>A lire aussi: des permis pour des résidences principales annulés par dizaines

Colère, exaspération, soulagement, défiance, les réactions des uns et des autres puisent dans le registre émotionnel. Un registre jamais quitté depuis la campagne et le vote de 2012. Et c’est même sans doute cela qui est responsable de la situation actuelle qui ne doit rien au hasard ou à la seule envie des tribunaux de compliquer la vie dans les vallées.

De la...

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