Pour certains, les vendanges qui se terminent auront été plus pénibles que pour les autres. A les voir cultiver ces pentes de 30° de déclivité, on se dit qu’ils ont sans doute un grain de folie ces vignerons qui s’obstinent à préserver un terroir que d’autres ont abandonné parce que ces parcelles, difficiles d’accès et non mécanisables, doublent voire triplent les frais de production.
Nous vous emmenons à la découverte d’irréductibles à qui le vide ne fait pas peur.
Comme si ces terres escarpées étaient plus garantes que d’autres d’authenticité.
Comme si la sueur du labeur apportait un plus, une touche de vie supplémentaire au divin breuvage.
Comme si la proximité du ciel véhiculait un peu de poésie au jus de ces baies en équilibre…
Avant notre sujet complet dans le journal de vendredi, rencontre avec Romain Cipolla qui cultive 1600m2 de pinot dans une pente de 30° sur les hauts de Rarogne.
Découvrez notre reportage photos dans les éditions numériques et papier du vendredi 21 octobre.