On l’appelle la "drogue du hockey sur glace" puisque, de l’avis même d’un hockeyeur, "Il y a plus de joueurs qui en consomment que de joueurs qui n’en prennent pas."
S’il est très à la mode dans les milieux sportifs, le snus est également consommé de manière plus globale pour ses effets à la fois relaxants et boosteurs, d’une durée de vingt minutes environ.
Des risques différents, mais aussi nocifs que ceux du tabac fumé
Le snus peut contenir jusqu’à 30 substances cancérigènes. A long terme, sa consommation peut entraîner – entre autres – des problèmes cardiovasculaires. Il est aussi particulièrement addictif: une dose de snus équivaut à trois cigarettes en matière de teneur en nicotine.
Même si, contrairement au tabac, le produit se passe de combustion et n’entraîne ni formation de goudron, ni exposition au monoxyde de carbone, les substances qu’il contient augmentent les risques de cancers (pancréas, bouche, gorge, œsophage), sans parler des lésions buccales, gingivales et dentaires.
Coups de gueule et témoignages de joueurs au sujet de la consommation de snus dans le milieu sportif:
INFO SERVICE
Les effets du tabac non fumé.
Le programme de prévention «cool and clean» s’adresse particulièrement au milieu sportif.