Serge Métrailler, après l’annonce de la dissidence de Nicolas Voide, est-ce le gros malaise au sein du PDCVr?
Non, c’est la stupéfaction et l’incompréhension. Mais trente-six heures après cette annonce, celle-ci réveille une formidable et incroyable mobilisation.
Cette annonce réveille surtout une aile qu’on dit conservatrice et qu’on croyait endormie, voire disparue…
Elle n’était ni en train de dormir et encore moins morte. Bien au contraire, cette aile a toujours été partie prenante du PDCVr et d’ailleurs on m’a toujours qualifié comme le président qui faisait le trait d’union entre les deux courants du parti. Ces courants ont depuis toujours défini et fait le PDCVr. Ces tonalités font la richesse et la force de notre parti qui parvient à les faire cohabiter.
Il semblerait pourtant que ces gens ne trouvent plus leur place dans votre organisation ou dans vos décisions…
Ces gens… Mais qui sont-ils?
Justement, je vous pose la...