Cette année, le Valais compte 3068 frontaliers étrangers (presque uniquement des Français et Italiens) qui viennent chaque jour travailler dans le canton. Soit 2% de la population active. L’an dernier à la même période, ils étaient un peu moins de 2890. Ce cap des trois mille a été franchi grâce à une progression de 6% en 2014. Si en dix ans, le Valais a presque doublé le nombre de ses frontaliers (+86%), c’est moins que la plupart des cantons romands.
En Valais, la moitié des frontaliers travaillent dans le commerce et les réparations autos et motos, l’hébergement et la restauration, la santé humaine, l’action sociale, ainsi que les transports. Le solde est occupé dans l’industrie et la construction.
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