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La prise en charge des seniors handicapés mentaux à la FOVAHM (2/5)

Les personnes handicapées dépassant les 65 ans ne sont pas abandonnées par la fondation valaisanne. Exemple avec Micheline Nançoz, résidente au centre de Saxon. Nous l'avons suivie une journée. Deuxième épisode de notre série sur les coulisses de la FOVAHM.

11 oct. 2017, 15:36 / Màj. le 12 oct. 2017 à 05:30
Micheline Nançoz, 67 ans, dans sa chambre au centre de la FOVAHM à Saxon.

Que deviennent les personnes handicapées mentales au troisième âge? C’est une grande inquiétude des parents. «Ils se demandent ce que leur enfant deviendra une fois qu’ils ne seront plus là pour s’en occuper», explique Jean-Marc Dupont, directeur de la Fondation valaisanne en faveur des personnes handicapées mentales (FOVAHM).

Avec le vieillissement de la population, les personnes handicapées mentales à la retraite seront de plus en plus nombreuses. La fondation a ainsi mis en place des activités pour que ces aînés vivent bien leur troisième âge.

A l'image de Micheline Nançoz (67 ans), de Conthey, l’une des onze pensionnaires à la retraite du centre de Saxon. Elle suit des activités pour être stimulée et ne pas perdre ses acquis. «Nous avons aussi une mission éducative: apprendre aux résidents à respecter l’hygiène et la propreté», précise Jérôme Antille, éducateur social.

Une chambre aux couleurs d’adolescente

Micheline Nançoz dans sa chambre au centre...

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