Avec «Athanor», Béatrice Berrut, après «Metanoïa», rend une fois encore un hommage appuyé à Franz Liszt, un compositeur qu’elle admire particulièrement et qui, dit-elle, lui sert de modèle. Entretien avec une musicienne de talent qui a su garder les pieds sur terre.
Ce quatrième album a été enregistré à Prague avec l’Orchestre symphonique national tchèque. Comment s’est fait le choix de cet orchestre?
Ce choix est à mettre au crédit de mon label qui avait déjà travaillé avec eux. Je n’avais jamais joué avec cette formation et je l’ai découverte le premier jour de l’enregistrement. Ce fut une très bonne expérience pour moi car ce sont des gens qui s’investissent dans ce qu’ils font, qui se donnent corps et âme pour la musique, et qui avaient du plaisir à jouer. C’était très porteur comme atmosphère, très détendu aussi tout en restant extrêmement professionnel. Tout cela nous a permis de faire...