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L'interview musicale de Raphaël Arlettaz

Cet été, "Le Nouvelliste" donne la parole à des personnalités romandes qui nous livrent leurs coups de coeur musicaux.

21 juil. 2017, 16:31
Raphaël Arlettaz, professeur en biologie de la conservation.

Plutôt Paléo, Montreux ou Verbier? 
J’ai fréquenté les trois, mais ma préférence va aux cadres intimes: par exemple, la chapelle des Haudères quand y chante mon épouse (Brigitte Fournier). Je suis assez éclectique dans mes goûts musicaux. Il y a aussi les sons de la nature: la douce mélodie du crapaud sonneur ou le chant du rossignol.

Au premier rang ou accoudé au bar?
A la distance de la scène qui offre la meilleure écoute!

Le concert de votre vie?
C’était un opéra (Ariane à Naxos de Richard Strauss), à Klagenfurt, en Autriche, lorsque celle qui deviendra mon épouse a chanté Zerbinetta en tenue pour le moins aguichante.

Celui que vous avez raté?
La dernière performance des Rolling stones à Zurich.

La chanson ou le morceau qui vous met en transe?
Lady in Black d’Uriah Heep (Salisbury). C’était l’année de la matu. J’ai encore le vinyl!

Celle de votre enfance?
Martin est oiseau bleu, le 45 tours que maman nous avait offert et que je passais en boucle cet été là. Il y était question d’oiseaux, déjà…

L’artiste ultime?
Claude Nougaro. Le poète-musicien qui lit l’homme, le monde et la nature avec une telle subtile justesse.

Un groupe ou chanteur valaisan?
Cf. première réponse.

Si vous étiez un artiste, vous seriez qui?
Raphaël Arlettaz qui aurait eu le temps de se consacrer à sa seconde passion: dessin et peinture.

Si vous étiez un instrument?
Sans aucun doute le basson: son plein et rond (ce que je ne suis pas, du tout!) et profond…

Votre dernier slow?
Au dernier réveillon de Noël. Chez les Arlettaz-Fournier, on danse entre la pintade (plus fin que la dinde) et la messe de minuit! Et pas que sur des slows!

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