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L'interview musicale de Justin Murisier

Cet été, "Le Nouvelliste" donne la parole à des personnalités romandes qui nous livrent leurs coups de coeur musicaux.

02 août 2017, 14:59
/ Màj. le 02 août 2017 à 16:30
Justin Murisier, skieur alpin Swiss-Ski.

Plutôt Paléo, Montreux ou Verbier?
Paléo, c’est l’ambiance la plus cool. Ce n’est pas un truc snob. J’y vais de temps en temps lorsque j’ai le temps et qu’il y a de bons concerts.

Au premier rang ou accoudé au bar?
Au bar. Je ne suis pas trop féru de me pointer une heure avant un concert pour être tout devant. Je préfère être un peu plus en retrait pour écouter de la musique.

Le concert de votre vie?
Scorpion. C’était au Rock’Oz il y a quatre ou cinq ans. C’est non seulement mon style de musique, mais en plus ils ont réalisé une performance de malade pour leur âge.

Celui que vous avez raté?
Je vais vous étonner mais c’est celui de Lana del Rey. Elle était à Montreux et à Paris récemment. Grâce à Daniel Yule, j’ai appris à apprécier.

La chanson ou le morceau qui vous met en transe?
«Are you ready» d’AC/DC. Je le mets souvent lorsque je me retrouve en salle de musculation pour me motiver.

Celle de votre enfance?
«Les Portes du Pénitencier» de Johnny Hallyday. Nous avions le CD qui tournait en boucle dans l’une de nos voitures. Cela m’avait marqué.

L’artiste ultime?
Kurt Cobain. Avec Nirvana et leur côté grunge, il a révolutionné le rock. Je l’écoute d’ailleurs encore souvent.

Un groupe ou chanteur valaisan?
Downless. Ce sont des gars de Lourtier qui font du hard-rock. J’apprécie bien et je les connais car ils sont de la vallée.

Si vous étiez un artiste, vous seriez qui?
Je serais plutôt batteur que chanteur car je n’ai pas une belle voix (rires). Mais je n’ai pas de nom spécifique.

Si vous étiez un instrument?
La batterie. Il faut être précis et elle n’est pas autant délicate qu’un autre instrument. En tout cas, je ne serais pas du tout un violon.

Votre dernier slow?
Je ne suis pas un grand danseur non plus donc j’ai peu de souvenirs dans ce domaine. Mais je dirais à l’école à l’époque des boums.

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