Votre publicité ici avec IMPACT_medias

L'interview musicale de Jörg Solèr, directeur de la Lonza

C'EST L'ÉTÉ - Cet été, "Le Nouvelliste" donne la parole à des personnalités romandes qui nous livrent leurs coups de cœur musicaux. Place à Jörg Solèr.

11 août 2017, 16:08
Jörg Solèr, directeur de la Lonza.

Plutôt Paléo, Montreux ou Verbier? 
Ma préférence va à Montreux.

Au premier rang ou accoudé au bar?
Les deux en fait. Au début plutôt au premier et après le concert au bar.

Le concert de votre vie?
C’est un opéra à Salzbourg en Autriche. Les noces de Figaro de Wolfgang Amadeus Mozart avec ma femme.

Celui que vous avez raté?
Je ne peux pas dire, pour le moment que j’ai raté un concert que j’avais prévu de voir.

La chanson ou le morceau qui vous met en transe?
«Smoke on the water» de Deep Purple. Ce groupe de hard rock avait clairement ma préférence durant ma jeunesse.

Celle de votre enfance?
Sans hésitation l’«Ave Maria» de Gounod.

L’artiste ultime?
C’est très difficile à dire, comme ça. Il y a tellement de style différent, tellement de tendance différente, qui font qu’à chaque fois un artiste excelle dans son domaine. Mais je dirais, de manière très personnelle, que mes enfants sont les stars ultimes. Un joue de la guitare et l’autre du piano. Et je suis leur plus grand fan…

Un groupe ou chanteur valaisan?
La chanteuse haut-valaisanne Sina.

Si vous étiez un artiste, vous seriez qui?
L’orge, comme instrument, m’a toujours fasciné. Raison pour laquelle je serais volontiers un organiste, mais je n’ai malheureusement aucun talent pour jouer de cet instrument.

Si vous étiez un instrument de musique?
Je dirais une guitare acoustique, car elle peut émettre un son doux et incomparablement chaud. Cet instrument peut, grâce à ses sons, complètement envoûter une salle et rendre en un instant les spectateurs tranquille et heureux.

Votre dernier slow?
Je suis un très mauvais danseur et mon dernier slow date de mon mariage.

Votre publicité ici avec IMPACT_medias