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L'interview musicale de Diego Wellig

Cet été, "Le Nouvelliste" donne la parole à des personnalités romandes qui nous livrent leurs coups de coeur musicaux.

17 août 2017, 16:32
Diego Wellig, président du Grand Conseil et premier citoyen du canton.

Plutôt Paléo, Montreux ou Verbier?
Il y a bien des années en arrière j’ai visité le Paléo Festival  à Nyon. 
La plupart des festivals sont en été ou je suis engagé comme guide. C’est la raison qu’il me reste malheureusement peu de temps à visiter des manifestations de musique. 
Ces dernières années j’ai eu le plaisir de participer au Zermatt Unplugged et à l’Openair Gampel. On y trouve toujours une bonne ambiance.
 

Au premier rang ou accoudé au bar?
Plutôt accoudé au bar. Je préfère écouter la musique en arrière plan. Les premiers rangs appartiennent aux fans et aux connaisseurs de musique. 
 
Le concert de votre vie?
J’ai eu de la chance en 1984 avec mes collègues de trouver des billets d’entrée pour le concert Eric Clapton au stade de Zurich. Cela était pour nous les montagnards tant impressionnant que excitant
 
Celui que vous avez raté?
J’ai un bon souvenir de tous les concerts visités ; je n’ai jamais eu le sentiment que j’avais raté quelque chose. 
 
La chanson/morceau qui vous met en transe?
La musique ne met pas réellement en transe car j’adore trop les montagnes et j’y trouve toute la musique de la nature
 
Celle de votre enfance?
«Cocaine» d’Eric Clapton était ma chanson préférée et aujourd’hui c’est «Hulapalu» d’Andreas Gabalier, Rock’n Roll populaire. 
 
L’artiste ultime?
L’artiste ultime il n’y a pas, c'est comparable au sport il y a beaucoup de bon musiciens. On aime ou on n'aime pas. Chaque artiste a sa qualité et son talent d’enthousiasmer les auditeurs.
 
Un groupe ou chanteur valaisan?
En tant que citoyen de Naters je préfère écouter «Z’Hansrüedi» et j'aime bien «Sina».
 
Si vous étiez un artiste, vous seriez qui?
En tant qu’artiste j’essayerai d’être le plus proche au publique jeune ou âgé. 
 
Si vous étiez un instrument?
Je ne voudrais pas être un instrument, car ce serait plutôt une cacophonie qu’une harmonie et je ferai beaucoup de mal aux oreilles de mes auditeurs. A la maison alors je joue du deuxième violon.
 
Votre dernier slow?
Lors de ma nomination à la tête du grand conseil c’était la réception chaude et cordiale à Naters avec beaucoup d’invités, la population de Naters et bien sûr ma femme Silvia.
 

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