Le «transfert» de Cédric Arnold de l’Etat à la Lonza a été l’un des sujets les plus discutés du week-end en Valais. Il a accepté de répondre à nos questions, tandis que son service revient sur une décision liée au dossier mercure (voir encadré).
Cédric Arnold, depuis que vous avez été nommé à la Lonza, quelqu’un vous a-t-il traité de traître?
Non. J’ai lu cela sur les réseaux sociaux. Généralement sous forme anonyme. Mais c’est tout. Mes collaborateurs m’ont même félicité en affirmant que ce sera plus facile désormais de travailler avec la Lonza.
Sauf pour les dossiers du mercure et de la pollution des eaux souterraines pour lesquels vous vous êtes engagé par écrit à ne plus les traiter. A quoi sert un chef environnemental de Lonza qui ne s’occupe pas de ces dossiers?
Je m’occuperai des enjeux actuels et futurs de la Lonza en matière d’environnement. Lonza veut...