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Investigation tardive et prescription

Déposée en 2015, la plainte de l’IVV contre Dominique Giroud a débouché sur une prescription pour une partie de celle-ci et sur une investigation de la justice entamée dix-sept mois après son dépôt.

15 févr. 2017, 23:55
/ Màj. le 16 févr. 2017 à 00:01
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Au printemps 2015, l’IVV (Interprofession de la vigne et du vin du Valais) déposait une plainte pénale contre Dominique Giroud pour concurrence déloyale, faux dans les titres, gestion déloyale et escroquerie. Deux ans plus tard, la partie concernant la concurrence déloyale est prescrite (voir encadré). Tandis que la justice a informé l’IVV, pour la première fois en octobre 2016, qu’une investigation est menée pour le deuxième volet de cette plainte, soit un an et cinq mois après son dépôt.

Cette longueur dans le traitement a le don de fâcher la branche viticole à travers la voix de son président Yvan Aymon (voir interview) et interpelle aussi son avocat Bernard Detienne. «Qu’une procédure pour une enquête économique dure longtemps ne me surprend pas. Par contre, nous demandions de prendre toutes les mesures rapides nécessaires, notamment des séquestres, pour éviter que les protagonistes puissent se concerter et que les différents documents...

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