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«Des épreuves plus simples à sécuriser qu’un match du FC Sion»

Conseiller d’Etat et coprésident du comité de candidature, Frédéric Favre revient sur la décision des Départements de justice et police de ne pas prêter gratuitement leurs policiers pour les JO.

19 nov. 2017, 23:32 / Màj. le 20 nov. 2017 à 00:01
Sion, le 19 juin 2017



Conférence de presse. pour la candidature Jeux Olympique Sion 2026.

Frédéric Favre, chef du Département valaisan de la sécurité des institutions et du sport



Sacha Bittel/Le Nouvelliste

Frédéric Favre, vous attendiez-vous à la décision des Départements de justice et police?

Oui. Avec la situation financière actuelle, on n’allait pas obtenir du premier coup la gratuité des prestations de police des autres cantons. Rappelons que c’est la Conférence des gouvernements cantonaux de mars 2018 qui peut faire une recommandation dans ce sens, donc chaque chose en son temps. Surtout que seul l’Euro 2008 de football en a bénéficié jusqu’à aujourd’hui. Mais je retiens aussi que contrairement à ce qu’a dit que M. Weibel, l’ancien délégué du Conseil fédéral pour l’Euro 2008, tous les chefs de justice et police ont reconnu la faisabilité de Sion 2026 en termes de sécurité dans le cadre du budget prévu de 303 millions. Si ce principe n’avait pas été admis, le projet s’arrêtait là.

Tout de même, cette absence de gratuité va augmenter la facture pour les cantons organisateurs d’environ 70 millions de...

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