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Habitations: faut-il abandonner les zones dangereuses? Exemples à Vernayaz et à Nax

Afin de prévenir les drames, l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) propose d’exproprier les détenteurs de résidence dans les zones dangereuses et de faire évacuer les habitants. En Valais, les autorités estiment que les décisions doivent se prendre au cas par cas.

15 sept. 2017, 16:59 / Màj. le 19 sept. 2017 à 12:00
Bondo frappé par deux coulées de boue qui ont emporté plusieurs bâtiments fin août. L'OFEV lance le débat de l'abandon de certains secteurs à risque dans les Alpes.

Les habitants des territoires menacés par d’importants dangers naturels devraient-ils s’en aller définitivement? La question, iconoclaste, n’est plus taboue à Berne. Dans un rapport publié récemment, la Confédération lance les bases d’un débat qui s’annonce d’ores et déjà très sensible.

L’Office fédéral de l’environnement (OFEV) propose en effet d’exproprier les détenteurs de résidence dans les zones dangereuses et de faire évacuer les habitants pour prévenir des drames. Ces recommandations arrivent une année particulièrement chaude où la Suisse a vécu en un peu plus de quinze jours la tragédie de Bondo et du Piz Cengaloaux Grisons et le spectaculaire effondrement du glacier de Trift au-dessus de Saas-Grund.

>>A lire aussi: Un Bondo est-il envisageable demain en Valais?

A cette question très délicate de l'abandon de secteurs entiers, le canton répond par la négative en précisant comme l’OFEV que la décision doit se prendre au cas par cas. En Valais, les exemples...

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