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Construire des pièces en métal par impression 3D. La HES-SO Valais y croit et investit.

La HES-SO Valais investit 350'000 francs dans une machine pour imprimer des pièces en métal par fusion laser. La technologie, très prometteuse, intéresse déjà plusieurs secteurs industriels de pointe.

01 oct. 2017, 16:31 / Màj. le 02 oct. 2017 à 05:30
Grâce à cette machine, l'HES-SO Valais sera en mesure de façonner des pièces métalliques, couche par couche. Très jeune, cette technologie de pointe pourrait révolutionner les milieux industriels.

Il y a quelques années, le monde découvrait l’impression 3D. On pouvait façonner de petites pièces en plastiques, couche par couche. Un jouet, une poignée de porte, un tire-bouchon. Mais discrètement, la technologie a évolué au point de brouiller les frontières entre réalité et science-fiction. Imprimer des pièces en métal ? C’est maintenant possible. Des pizzas ? Aussi. Des organes vivants ? Presque. A travers le monde, de nombreux laboratoires y travaillent.

>> Lire aussi: Le premier pont imprimé en 3D se trouve à Madrid

Le potentiel industriel de cette technologie balbutiante est prometteur et l’HES-SO Valais l’a bien compris. La Haute Ecole d’Ingénierie vient d’investir 350'000 francs dans une nouvelle imprimante 3D par faisceau laser. Pas de pizzas en vue, mais dès le mois de février 2018, elle sera capable de façonner des pièces métalliques inédites. « De quoi générer de nouveaux partenariats avec le tissu industriel et...

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