Il y a quelques années, le monde découvrait l’impression 3D. On pouvait façonner de petites pièces en plastiques, couche par couche. Un jouet, une poignée de porte, un tire-bouchon. Mais discrètement, la technologie a évolué au point de brouiller les frontières entre réalité et science-fiction. Imprimer des pièces en métal ? C’est maintenant possible. Des pizzas ? Aussi. Des organes vivants ? Presque. A travers le monde, de nombreux laboratoires y travaillent.
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Le potentiel industriel de cette technologie balbutiante est prometteur et l’HES-SO Valais l’a bien compris. La Haute Ecole d’Ingénierie vient d’investir 350'000 francs dans une nouvelle imprimante 3D par faisceau laser. Pas de pizzas en vue, mais dès le mois de février 2018, elle sera capable de façonner des pièces métalliques inédites. « De quoi générer de nouveaux partenariats avec le tissu industriel et...