Le coming out fait partie des étapes du processus d’acceptation de son homosexualité. C’est le moment où la personne décide de dévoiler son homosexualité. D’ailleurs, dimanche, le 11 octobre, c’est la journée mondiale du coming out. Avant d’arriver à ce moment de l’annonce à sa famille, à ses proches, à ses amis, à ses collègues, la personne se cloître souvent dans un placard.
Ne pas étouffer
«La personne imagine que ce placard est un lieu sûr. Il permet de rester caché, de se sentir protégé, à l’abri des agressions. Pourtant, le placard peut vite devenir étouffant», note Johanne Guex, coordinatrice du projet PREMIS, prévention du rejet des minorités sexuelles.
S’équiper pour faire face aux réactions
Il n’y a pas de bon ou de mauvais moment pour faire son coming out. «D’abord, la personne doit s’accepter et être sûre de ce qu’elle ressent. Ensuite, lorsqu’elle se sentira prête, elle pourra choisir d’en parler. Il faudra que la personne soit bien équipée pour faire face aux réactions. Il faut pouvoir assumer un éventuel rejet», note Johanne Guex.
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