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Combattre la dépression saisonnière de l’automne-hiver

Avec les jours qui raccourcissent et les températures qui baissent, le moral touche le fond. Si le blues hivernal est quelque chose d’assez courant, la dépression saisonnière est, elle, beaucoup plus sérieuse.

25 oct. 2016, 16:04
/ Màj. le 26 oct. 2016 à 17:30
Les baisses de températures et de luminosité de l’automne et de l’hiver peuvent entraîner une dépression saisonnière.

Les jours raccourcissent, le temps se fait gris et devient plus froid. Il n’en faut guère plus pour avoir le moral dans les chaussettes. Si presque tout le monde est touché par cette mélancolie, certaines personnes développent, à l’arrivée des frimas, une véritable dépression.

Une dépression « atypique »

En plus des symptômes conventionnels des troubles dépressifs (baisse de l’humeur, manque d’énergie et d’envie, perte de plaisir, sentiment de culpabilité ou troubles de la concentration), la dépression saisonnière se caractérise par une augmentation de l’appétit et du sommeil. Elle est également cyclique, présentant deux épisodes dépressifs séparés par une période de rémission.

La faute au manque de lumière

La raison de ce mal-être demeure en partie inconnue. Une corrélation a toutefois été établie avec la baisse de luminosité propre à cette période de l’année. Ainsi, le nord du globe, qui connaît une perte de lumière plus importante, présente plus de cas de dépression saisonnière que le sud. Les femmes et les jeunes adultes sont également plus touchés.

Voici quelques conseils contre la dépression saisonnière.

Retrouvez l’intégralité de cet article dans nos éditions papier et numérique de jeudi 27 octobre.

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