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Un cauchemar pour les parents

Enfants placés Eloignés de leur enfant, des parents de Suisse romande se sentent écartés des procédures par le Service de protection de la jeunesse.

10 mars 2016, 23:34
/ Màj. le 11 mars 2016 à 00:01
THEMENBILD === Ein Jugendlicher blickt auf eine sich naehernde Gruppe von Jugendlichen, undatierte, gestellte Aufnahme. Junge Auslaender, die schwere Straftaten begangen haben, sollen ohne Verzug ausgeschafft werden. Diese Haltung vertreten laut einer Umfrage 69 Prozent der Schweizer Bevoelkerung. Jeder zweite findet nebst Strafen auch die Erziehung wichtig. Fuer die im "SonntagsBlick", "Le Matin Dimanche" und "Il Caffe" am Sonntag, 10. Februar 2008 publizierte Umfrage hat das Institut Demoscope am 6. und 7. Februar 913 Personen befragt - wenige Tage, nachdem am Karneval in Locarno ein Tessiner Student zu Tode gepruegelt worden war. (KEYSTONE/Martin Ruetschi)  SCHWEIZ JUGENDGEWALT UMFRAGE

Elisabeth a enfin récupéré sa fille, à l’aube de ses 18 ans. «J’ai gagné devant la justice, mais tout le monde est perdant dans cette histoire», souffle-t-elle. La mère, grande blonde aux cheveux bouclés, sort de quatre ans de bras de fer avec le SPJ, le Service de protection de la jeunesse, qui avait placé sa fille en foyer. «Ils ont essayé de m’en éloigner. J’ai eu le sentiment de perdre mon enfant.»

Elle n’a pas raté, la semaine dernière, la publication du rapport de l’autorité de surveillance vaudoise sur le SPJ. Et une certaine ligne en particulier: la Cour des comptes recommande de «développer une communication plus claire et transparente avec les parents» et de les «intégrer» davantage aux bilans. Attablée dans un café, les yeux rivés sur la presse, elle réagit: «J’espère que ce rapport ne va pas finir dans un tiroir.»

Un groupe Facebook

Elle n’est pas...

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