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Santésuisse crie dans le désert

La prochaine hausse des primes maladie calculée par la faîtière des assureurs devrait être atténuée par les mesures tarifaires de cet été. Et l’Office de la santé publique tient bon...

19 sept. 2017, 23:37 / Màj. le 20 sept. 2017 à 00:01
ARCHIV -- Krankenversicherungskarten, aufgenommen am 5. Juni 2014. Der Krankenkassen-Dachverband santesuisse macht mobil gegen die strikte Trennung von Grund- und Zusatzversicherung. Wuerde dieser Vorschlag des Bundesrates umgesetzt, wuerde das rund 400 Millionen Franken im Jahr kosten. Die Versicherten muessten mitbezahlen. Das teilte santesuisse am Montag gestuetzt auf eine in Bern vorgestellte Studie von The Boston Consulting Group (BCG) mit. BCG hat errechnet, wie der stark umstrittene Vorschlag im Vergleich zur heutigen Situation zu Buche schlagen wuerde. (KEYSTONE/Gaetan Bally)  SCHWEIZ MK SANTESUISSE

C’est le moment où chacun s’apprête à sortir sa calculette pour décider s’il convient ou non de changer d’assurance maladie. Le montant des primes 2018 sera dévoilé le 28 septembre, et l’on peut d’ores et déjà prédire que les nouvelles ne seront pas bonnes. Selon la faîtière des assureurs Santésuisse, les coûts de la santé ont encore augmenté de 4,9% en 2016 par rapport à l’année précédente, ce qui devrait induire une hausse des cotisations de quatre à cinq pour cent. Une lueur d’espoir subsiste néanmoins: les mesures décidées cet été par Alain Berset concernant les tarifs médicaux devraient avoir un effet modérateur.

Santésuisse fait de la résistance, mais les consignes de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) sont claires: «Les primes 2018 doivent tenir compte de l’adaptation des tarifs, car le calcul des primes doit correspondre aux coûts prévisibles pour 2018», explique Andrea Arcidiacono, porte-parole de l’office.

Tarifs...

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