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Quand le psychologue doit se préparer au pire

Après Berlin, les cellules d’urgence se tiennent prêtes. Exemple à Genève.

23 déc. 2016, 23:56
/ Màj. le 24 déc. 2016 à 00:01
Ein junger Mann zuendet am 21.12.2016 in Berlin unweit der Stelle des Anschlags auf dem Weihnachtsmarkt am Breitscheidplatz Kerzen an. Bei einem Anschlag am 19.12.2016 mit einem Lastwagen auf einen Weihnachtsmarkt an der Gedaechtniskirche wurden zwoelf Menschen getoetet und rund 50 verletzt. (KEYSTONE/DPA/Britta Pedersen)  DEUTSCHLAND ANSCHLAG BERLIN WEIHNACHTSMARKT

Comment prendre en charge les gens traumatisés psychologiquement par un attentat comme celui de Berlin? En Suisse, les cantons disposent d’unités de psychologues d’urgence. Interview d’Helena Casazza, de l’AGpsy-Police, la cellule dépendant du Département de la sécurité du canton de Genève.

Qui assure à Genève le soutien psychosocial dans le cas d’un attentat comme celui survenu au marché de Noël de Berlin?

Sur demande de la police, la cellule «accueil» agit selon une chaîne de commandement semblable à celle de l’armée. Nous nous préparons à la prise en charge d’événements provoquant plusieurs centaines de morts ou blessés.

Genève redoute un attentat?

Nous faisons des exercices de simulation et nous nous formons avec nos voisins en prévision du pire. Pas plus tard que le 29 septembre, nous avons organisé à Genève un symposium sur le sujet. Nous essayons de tirer les leçons en prévision d’une catastrophe ou d’un attentat.

En cas...

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